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À vingt-huit ans, Nina Olgivie est l’image même de la réussite professionnelle : directrice du département Fonds de pension d’une grande banque londonienne, elle gagne beaucoup d’argent et jouit d’une grande notoriété. Mais cette façade brillante cache les blessures d’une jeune femme que sa mère, ravissante et volage, n’a jamais aimée, et à qui son père, ancien agent des services secrets, ne témoigne que de l’indifférence.
Dans un tel contexte, Nina a appris à s’endurcir contre les peines de cœur sans jamais s’autoriser à tomber amoureuse. Mais voilà que, ombre dans le tableau éclatant de sa carrière, elle est victime d’une campagne de presse virulente, visant justement cette absence de sentiments qui se ressent jusque dans ses relations professionnelles. Sa banque l’envoie alors en mission en Afrique du Sud, le temps qu’elle se fasse un peu oublier.
Évoluant parmi les nouveaux riches de cette société en mutation, elle va tomber doublement amoureuse : de ce pays, d’abord, et de Wolf Möller, un énigmatique homme d’affaires. Il parvient à percer l’armure de la jeune femme, la convainc de l’épouser et, quelques mois plus tard, elle lui donne un fils. Bien intégrés, les Möller se font de nombreux amis. Wolf se présente comme un investisseur d’origine est-allemande. Gagnant la confiance de la bonne société sud-africaine, il amasse une véritable fortune. Mais il est précédé d’une réputation auréolée de mystère, et peu à peu des soupçons pèsent sur lui, que Nina, toute à son bonheur, se refuse de considérer. Jusqu’au jour où elle doit se rendre à l’évidence : son mari s’est envolé avec toutes leurs économies et celles de leurs amis, et on l’accuse d’être un espion à la solde des Russes. Pire, il a kidnappé leur enfant.
En prison (elle a été accusée de complicité), Nina met au point l’implacable stratégie de ses représailles, alimentées par une haine d’autant plus inextinguible qu’elle est convaincue que tout cela ne serait pas arrivé si elle avait su étouffer ses sentiments. À sa sortie, elle retourne en Europe où, avec l’aide de son père, elle entreprend, sous une nouvelle identité de « blanchisseuse d’argent », de retrouver mari et enfant. Au terme de cette aventure qui l’emmènera aux États-Unis, dans l’ex-Yougoslavie en ruines, au cœur de la mafia sicilienne, sur la Côte d’Azur et, pour finir, en Russie, elle découvrira la véritable identité de Wolf Möller et prendra sa revanche de façon magistrale…
Un peu compliqué à lire mais intéressant tout de même....
Bon week end à tous..
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Bidart, le plus haut village entre Biarritz et Guétary, est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine. Elle s’est développée sur près de cinq kilomètres du littoral atlantique et sa façade maritime se distingue par de longues falaises fortement plissées surplombant quelques plages. Limitrophe de Biarritz, elle se trouve à vingt-cinq kilomètres au nord de la frontière franco-espagnole.
La mairie.
Situé dans une zone connue de l’Homme dès le Paléolithique supérieur, le village ne s’urbanise qu’à partir du xiie siècle, époque où l’évêque de Bayonne et le vicomte du Labourd autorisent la colonisation des landes côtières inexploitées de cette partie du Pays basque.
Fort d’une exposition maritime importante, le village développe une activité tournée vers l’océan, se distinguant dès le xvie siècle dans la chasse à la baleine, l’exploitation d’un port de pêche (aujourd'hui disparu), et des activités qui y sont liées, telle la construction navale.
La plage de Parlementaria.
Le chateau d'lIbarritz.
Bidart réagit à la mode balnéaire de la fin du xixe siècle et du début du xxe siècle en adaptant son offre à la demande touristique, abandonnant au passage ses activités agricoles et de pêche. La commune double sa population entre 1975 et 2006 : elle est en 2018 une localité de plus de 6 000 habitants, qui s’est tournée résolument vers le secteur des services parmi lesquels le tourisme, à dominante traditionnelle, a une place prépondérante.
Pour en savoir plus, allez ICI.
Bon week end de Pentecôte...
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xx
Résumé du livre de Ken Follett " La marque de Windfield".
Au coeur de l'Angleterre victorienne, en 1866 plusieurs élèves du collège de Windfields sont témoins d'un accident au cours duquel, l'un d'entre eux trouve la mort par noyade....Les secrets qui entourent cet épisode vont marquer à jamais les destins d'Edward, riche héritier de la banque Pilaster ainsi que celle de sont cousin Hugh, plus pauvre...et aussi celui de Miranda , fils d'un richissime sud américain, aux moeurs plus que douteuses.
Ken Follette a su décrire avec brio, cette société faite de pouvoir et d'argent, de débauche et de familles derrière une façade plus que respectable. Qui l'emportera sur le bien ou sur le mal?
C'est toujours un plaisir de se plonger dans l'écriture de cet auteur britannique.surdoué. Je l'ai relu avec bonheur...
Bonne fin de semaine à tous avec l'été qui arrive.
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Continue de te battre pour ce que tu crois,
même si c'est parfois difficile.
Dis toi que certaines batailles
sont plus longues à gagner que d'autres
et ne perds jamais espoir.
Alexandra Julien.
L'espoir est comme une étoile,
non pour être vu sous le soleil de la prospérité
mais à découvert dans la nuit de l'adversité.
Charles H.Spurgeon.
Dans les naufrages du coeur,
Comme dans les naufrages des océans,
le moindre mot d'espoir
devient une planche de salut
à laquelle on cherche à se cramponner.
Jean N. Vernier.
Images crées par moi
sur les forums de mes amies.
Bon week end à tous.
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Doris Day en 1957.
Doris Day,(née Mary Ann Von Kappelhoff,) est une actrice, chanteuse et productrice américaine, née le 3 avril 1922 à Cincinnati dans l'Ohio et morte le 13 mai 2019 à Carmel-by-the-Sea en Californie ( à 97 ans).
Elle a joué dans plus de quarante films avec la compagnie Warner Bros et enregistré plusieurs albums avec Columbia Records.
Elle entame sa carrière, sous le pseudonyme de Doris Day, par le music-hall, les grands orchestres et le disque avant de débuter à l'écran en 1948. Avant d’approfondir sa carrière comme chanteuse, Doris chantait pour le groupe de Les Brown avec lequel elle enregistra 42 chansons.
Elle est une vedette populaire des comédies familiales. Partenaire de Rock Hudson ou Cary Grant, elle incarne à l'écran une femme saine et vertueuse. Doris Day tourne aussi avec les plus grands réalisateurs : Michael Curtiz, David Butler, Charles Vidor, Alfred Hitchcock.
Dans le même temps, elle enregistre de nombreux albums. Certains de ceux-ci sont les bandes sonores des films dans lesquels elle joua, et d'autres des albums qu'elle enregistra en tant que chanteuse solo.
Doris Day en 1968.
Sa carrière de chanteuse solo est divisée en deux temps. La première partie débute en 1947 et se termine vers l’année 1956. Elle enregistre plusieurs albums solos qui couvrent une variété de style et de genre musical. En même temps Columbia Records sort les albums des films dans lesquelles Doris Day chante. La deuxième phase de sa carrière solo commence en 1957 et se termine en 1967.
On la retrouve en duo avec des chanteurs et chanteuses comme Frank Sinatra, Buddy Clark, Bing Crosby et plusieurs autres. Doris Day et Sinatra ont chanté Let’s Take an Old Fashioned Walk, une chanson du Broadway Miss Liberty. Elle chanta plusieurs chansons de Broadway comme I've Never Been in Love Before et Bushel and a Peck de la comédie Blanches colombes et vilains messieurs. Elle commença à enregistrer des albums conceptuels de diverses chansons américaines populaires. Son premier album concept fut Day by Day (1956).
L’album contient douze chansons dont la plupart viennent des années 1930 et qui tournent autour de la thématique de la romance tard le soir. Avant cet album, elle chante la chanson populaire Que Sera, Sera (Whatever Will Be, Will Be) dans le film de Alfred Hitchcock, L'Homme qui en savait trop, première chanson qui l'aurait amenée à ses albums conceptuels.
En 1968, elle arrête le cinéma et continue sa carrière, comme de nombreuses actrices de sa génération, à la télévision. Marty Melcher, son mari, meurt d'un élargissement du cœur juste avant le début du tournage de sa série Doris comédie (The Doris Day Show) en 1968. Après cinq ans de télévision, Doris Day décide d'arrêter le show-business pour se dévouer à sa nouvelle passion, les droits des animaux.
En 1975, elle publie son autobiographie, intitulée Doris Day, Her Own Story .
Pour en savoir plus Voir ICI.
Bon week end à tous.
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