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    Aux beaux jours quand la douce chaleur revient, 

    quand les arbres se parent à nouveau de verdure, 

    quand les enfants s'amusent dans un parc,

    ou que l'on devise paisiblement avec un ami

    il faut prendre conscience que la fête de la vie bat son plein.

    Et que tout cela est beau, non ???

     

     

     

     

    On se doit d'être heureux, joyeux, de ne voir que du bonheur et des avantages

    aux jours qui grandissent, à l'été qui pointe son nez,

    à la chaleur qui va permettre de se dénuder...

     

    D'après Psychologie.com

     

     

     


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    L'homme vit en fonction du temps qui passe.

    La naissance, l'adolescence, l'âge adulte, la vieillesse : la flèche du temps donne tout son sens à la vie. L'être humain a beau essayer de lutter contre le temps – rien n'y fait : le temps passe inexorablement. Jamais nous ne pouvons le mettre entre parenthèses même si, parfois, durant de brefs moments, il semble s'arrêter, nous avoir oubliés.

    Les psychologues étudient précisément les sentiments de l'homme face au temps qui passe. Ils tentent de comprendre sur quoi repose notre « sens du temps », comment il s'élabore, comment certaines situations, certaines pathologies perturbent notre appréciation du temps. Ils cherchent à répondre à cette question : pourquoi une heure semble-t-elle parfois une éternité, et parfois un instant si court ?

     

    Ne faites pas trente six choses en même temps. A notre époque où tout s'accélère à un rythme effréné, reprenez le contrôle de votre temps. Appuyez sur le bouton  "OFF"  pour libérer votre espace mental. Concentrez vous sur une tâche en particulier, quitte à laisser de coté pendant quelques minutes ou quelques heures, les sollicitations extérieures.

     

    Chaque chose en son temps  : Simplifiez vous la vie en considérant l'ensemble de vos tâches comme une succession d'activités à accomplir, une par une, chacune en son temps ! car à force d'être multitâches, on ne profite de rien...Pour ramener la conscience à l'instant présent, concentrez votre attention  et votre énergie sur un seul objectif ou une tâche unique...Dès que vos pensées partent dans tous les sens, ramenez votre esprit aux gestes que vous posez à l'instant même.

     Texte d'après Psychologie . com

     

     

     

     


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    Nous sommes tous exposés  aux frustrations et aux déceptions. Paradoxalement ce sont souvent les petites déconvenues qui provoquent les plus grandes amertumes. Nous les ressassons, maudissons les circonstances ou les personnes qui en sont à l'origine, sans réaliser qu'un tel comportement altère notre capacité à rebondir et à percevoir de nouvelles opportunités.

    La frustration nourrit ainsi la frustration, alors qu'un esprit positif porte en lui la capacité de se regénérer....

     

    La frustration est un état mental d'insatisfaction caractérisé par un déséquilibre entre un désir ou une attente, et sa réalisation du fait qu'il n'est pas (encore) réalisé.

    Les sources de frustration peuvent être internes ou externes. 
    Les sources internes proviennent de déficiences personnelles : insatisfaction, manque de confiance, peur, etc.
    Les causes externes sont générées par une interférence ou un conflit avec une autre personne, qui empêche d'atteindre le but désiré : jalousie, rancune, orgueil, etc.

    La frustration génère une souffrance chez la personne frustrée, qui peut alors s'enfuir dans l'obsession, l'addiction, la dépression, ou d'autres comportements inadaptés.

     

     

    Comment vivre ses frustrations ... sans faire de morts ?

    - soigner sa jalousie, son envie, son orgueil, ses rancunes, sa révolte
    - utiliser l'humour, et pourquoi pas ... la dérision ! 
    - apprendre à vivre intensément le moment présent et l'accepter tel qu'il est 
    - assumer, sublimer ... nourrir son âme et avoir une vie profonde
    - et surtout : changer de système de fonctionnement

     

     

    Conclusion

    La frustration est une invitation à chercher le bonheur en moi-même ... et "trouver le bonheur est un art qui consiste à changer son regard en mettant des lunettes roses" (Jade).
    Les 'lunettes roses', cela signifie : voir au travers de moi tout ce que j'ai de positif : mes projets, ma force, ma liberté, mon espérance, ma confiance en la Vie ... et être heureux de ce que je suis ... car ma valeur personnelle, c'est ce que je suis ... et non ce que j'ai !

    D'après Psychologie .com

     


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    Les bouddhistes semblent toujours voir la vie “en or”. Matthieu Ricard, proche du Dalaï-lama, commente pour nous le visage serein d’un bouddha khmer, afin de nous guider sur le chemin de cette paix intérieure.

     

    Le pessimisme reflète une vulnérabilité fondamentale à la souffrance, qui peut aller jusqu’au dégoût de vivre – le sentiment que la vie ne vaut pas la peine d’être vécue parce que l’on est dans l’impossibilité de lui trouver un sens.

    L’optimisme authentique permet d’utiliser chaque instant qui passe pour se transformer soi-même afin de mieux transformer le monde, pour apprécier le moment présent et jouir de la paix intérieure, au lieu de perdre son temps à ruminer le passé et à redouter l’avenir. 

    Le Bouddha ne ferme pas les yeux sur le monde, mais tourne son regard vers l’intérieur pour mieux le comprendre. Il est comme le poisson d’or qui nage les yeux grands ouverts dans l’océan du samsara, le monde de l’ignorance conditionné par la souffrance.

     

     

    Ce sont les yeux de la connaissance et de la compassion. Le Bouddha est en adéquation avec la réalité, car il perçoit la nature ultime des choses : l’interdépendance des phénomènes et la non-existence d’un moi autonome. Il reconnaît le potentiel d’éveil présent en chacun même lors qu’il est dissimulé derrière les nuages de la confusion mentale et des émotions perturbatrices.

    Le sourire de Bouddha est l’expression d’un amour altruiste sans limites, fondé sur une juste connaissance de la nature des choses. Ce sourire reflète une bienveillance inconditionnelle, née du souhait que tous les êtres, sans exception, trouvent le bonheur et les causes du bonheur – sagesse, liberté intérieure et compassion –, et soient libérés de la souffrance et de ses causes profondes : l’ignorance et les toxines mentales – haine, désir obsessionnel, arrogance, jalousie. Nous sommes loin d’un optimisme béat qui peindrait en rose la triste réalité d’un monde mauvais.

    Notre optimisme éclairé procède d’une attitude ouverte et créatrice qui permet d’embrasser spontanément l’univers et les êtres au lieu de se retrancher derrière le sentiment de l’importance de soi.

     

     

    Docteur en génétique cellulaire, Matthieu Ricard a rompu avec sa carrière de scientifique en 1972. Depuis cette date, installé en Inde et au Népal, il s’est entièrement consacré à l’étude du bouddhisme tibétain. Moine, interprète français personnel du Dalaï-lama, il a publié notamment "Le Moine et le Philosophe" (Nil, 1999), livre de dialogue avec son père Jean-François Revel, et "Plaidoyer pour le bonheur" (Pocket, 2004).

     

    D'après Psychologie .com

     

     

     


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  • L’hortithérapie s’inscrit aussi dans une démarche de bien-être. « Les plantes et les gens ont en commun le cours de l’existence », rappelle le pédopsychiatre Dominique Sauvage .

     Germination, croissance, maturité, vieillissement, mort... le lien que nous établissons avec l’être vivant que nous protégeons des intempéries et des maladies nous renvoie à notre condition. Or, certaines plantes « peuvent réchapper d’un cataclysme et pousser à nouveau », poursuit-il. Une métaphore à méditer !

    Ça maintient en éveil intellectuellement », constate de son côté Anne Chahine, 70 ans dont quarante de jardinage, et qui préside l’association Jardins et santé. « On n’a jamais fini d’apprendre comment les plantes et les insectes interagissent. On remplace les espèces, on taille autrement un buisson. Un jardin est toujours en mouvement. »

    L’aménager stimule effectivement les fonctions cognitives. Il faut savoir se repérer dans le temps et dans l’espace, mémoriser les noms des végétaux... École de patience et de frustration, jardiner permet également de renforcer son tissu relationnel et la confiance en soi, car les amateurs s’échangent des conseils et reçoivent des compliments. Et puis, cultiver ses propres fruits et légumes garantit des produits « frais et sans pesticides » ! De quoi faire le plein de nutriments.

     

     

    Seul bémol : ce loisir fait mal au dos. « Mais aujourd’hui on ne bêche plus, on utilise une grelinette ! », rétorque Anne Chahine. L’outillage moderne tente de réduire les douleurs et la fatigue. Et en veillant à varier les positions et à ménager sa colonne vertébrale, tenir un arrosoir, tondre ou défricher tonifie tout le corps.Il peut réduire les douleurs et la fatigue. Et en veillant à varier les positions et à ménager sa colonne vertébrale, tenir un arrosoir, tondre ou défricher tonifie tout le corps.

    Ratisser ou tailler travaille l’équilibre et la souplesse. Rempoter entretient la mobilité articulaire, y compris sur des gestes fins. « Un individu peut brûler autant de calories en 45 minutes qu’en 30 minutes d’aérobic », promet Denis Richard qui préconise cette activité trois fois par semaine pour garder la forme. Faire des exercices de fitness en entretenant un espace vert ? Il fallait sans doute être anglais pour l’inventer ! Cela s’appelle la « green gym ». Hélas, ce jardinage sportif, collectif et écolo né en 1998 tarde à traverser la Manche.

     

    D'après Psychologie .com

     

     

     

     

     


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