• Pour savoir cultiver le bon coté des choses.

    Il faut être positif sans être naïf, constructif sans fausses illusions, est-ce possible ? Oui. L’optimisme lucide existe, il s’enracine dans la confiance en soi et le plaisir de vivre. Un état d’esprit qui change tout.

     Penser que le monde est le meilleur qui soit, que l’avenir est forcément prometteur, c’est de l’angélisme. Prendre les choses du bon côté en négligeant leur aspect négatif, voilà une politique de l’autruche qui sonne faux. Nous connaissons tous des personnes qui répètent : « Ça va aller, oui, ça va aller », alors que tout dans leur attitude et leur vie crie le contraire,. Les psychanalystes ont un mot pour un tel aveuglement : le déni. L’optimisme n’est alors qu’une manière détournée de refuser de voir une réalité qui serait insupportable.

     

    L’idéalisme est une autre tendance fâcheuse à négliger le réel. En faisant la plus grande place à l’idéal et au sentiment, il entraîne paradoxalement vers de grandes déceptions. Croire en une vérité unique pour tous, penser que le progrès matériel est toujours bénéfique ou que notre salut dépend d’un seul être nous plonge dans bien des guerres et des impasses écologiques ou relationnelles. Là encore, l’absence de nuance a un prix. Non, ce n’est pas non plus de cet optimisme-là dont nous parlerons.

     

    Un état d’esprit intelligemment positif peut-il exister ? C’est en tout cas ce que nous vous proposons d’expérimenter. Il est fait de réalisme et d’espoir affirmé. C’est un optimisme « inquiet », à la fois dynamique envers les projets qu’il porte et lucide sur les obstacles à franchir. Il ne consiste pas à se « gonfler le moral » ou à se « rebooster les neurones », mais se nourrit du sentiment de bien-être procuré par des pensées « aidantes ».

    Rien à voir avec de la gymnastique mentale, cependant. « Là où l’optimisme aveugle affirme : “Il n’y a aucun problème, tout va parfaitement bien”, l’optimisme intelligent dit : “Il y a des problèmes, mais je vais m’y adapter” », précise le psychiatre Christophe André. Il ne se nourrit pas de faux espoirs et, contrairement à l’idéalisme et au déni, a l’immense avantage de ne pas générer de déception.

     D'après Psychologie.com

     

     

     

     


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    Souvent la vie s'amuse. Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé d'un rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud. Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident. 

    Les gens brutaux, les gens pressés ignorent les détails. ils veulent du lourd, du clinquant, ils ne veulent pas predre une minute 

     à se baisser pour un sou, une paille, la main d'un homme tremblant. 

    Mais si on se penche , si on arrête le temps, on découvre des diamants dans une main tendue....

     

    Et la vie n'est plus jamais triste.

    Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi.

    KATERINE  PANCOL.

     


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    Sur la pointe des pieds une année qui s’en va, emportant souvenirs qui resteront en nous, ces quelques souvenirs qui s’effacent déjà, laissant la place à d’autres, tourne tourne la roue.

    Sur la pointe des pieds une année qui s’approche, amenant souvenirs qui viendront à leur tour, faisant vibrer nos cœurs comme le fait une cloche, et c’est la roue qui tourne et qui tourne toujours.

     

    Et les années qui passent et le temps qui s’enfuit, et le temps qui s’écoule sans jamais s’arrêter, des années qui défilent tout au long d’une vie, laissant des souvenirs, qui ne font que passer...

    Je vous souhaite à toutes et tous une excellente et douce année.

    Une année lumineuse et riante, drôle et remplie de magnifiques instants. Que le bonheur vous inonde.

     

     

     

     


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    Evitez les produits alimentaires qui contiennent des ingrédients qu’une personne normale n’aurait pas dans son garde-manger. Ethoxylate de diglycérides ? Cellulose ? Gomme de xanthane ? Sulfate d’ammonium ? Si vous ne les utilisez pas vous-même pour cuisiner, pourquoi laisser les autres les mettre dans vos plats ?

    > Ne mangez rien que votre arrière-grand-mère ne reconnaîtrait pas comme un aliment. Devant des yaourts en tube qui ressemblent à du dentifrice, passez votre chemin.

    > Prenez des repas. Ça paraît évident dit comme ça, mais des études ont montré que les Américains ingèrent un cinquième de leur nourriture dans leur voiture...Manger à table  !

     

     

     

     

    Consommez toute la malbouffe que vous voulez... tant que vous la faites vous-même. Frites, chips, glaces… Vous ne risquerez pas d’en manger tous les jours.

    > Manger ce qui a un pied (champignons et végétaux) vaut mieux que manger ce qui a deux pattes (volaille), ce qui est encore préférable à manger ce qui en a quatre (vaches, cochons et autres mammifères). Proverbe chinois astucieux, mais qui oublie malheureusement le poisson.

       

     

     

      


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    Saviez-vous que cuisiner rend heureux ? Pendant longtemps, je savais à peine faire cuire un oeuf, mais cuisiner est devenu pour moi un mode d’expression,  une source sans fin de plaisir et de régals.

    « Les gens sous-estiment le pouvoir de ces aliments pour leur bien-être à court et long terme. Ils représentent notre meilleure police d’assurance santé!

    C’est bien entendu un geste d’amour et de partage. C’est rassembleur. Mais cuisiner, c’est aussi comme prendre l’avion, ça ouvre nos horizons et ça nous procure un sentiment de liberté. La liberté de choisir de meilleurs ingrédients, d’enrichir nos recettes. La liberté d’apprivoiser à son rythme des ingrédients nouveaux. Cuisiner, c’est prendre en main notre alimentation. En cuisinant, on devient moins dépendant des produits transformés. Notre alimentation se simplifie. Les produits frais prennent plus de place. Ça sent bon dans la maison.  On crée de bons souvenirs. Sans parler du sentiment d’accomplissement lorsqu’on réalise qu’on l’a fait soi-même et que c’est bon! »

    Geneviève O’Gleman, nutritionniste.

     

     

     

     

     « S’intéresser à l’origine des aliments et acheter directement de producteurs, comme au marché public ou à la ferme. Ce sont des sorties agréables en-soi, qui sont aussi éducatives et inspirantes! Les producteurs passionnés partagent souvent des idées pour cuisiner leurs produits vedettes. C’est aussi une façon de «mieux manger» dans le sens plus vert du terme, en ayant accès à des produits frais, de saison et cultivés localement sans passer par plusieurs intermédiaires. Mieux manger ça commence aussi avec nos façons de s’approvisionner et de s’intéresser aux aliments. »

     Julie Aubé, nutritionniste.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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