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    Nous avons tous des limites qu'elles soient physiques ou intellectuelles. Dramatiser ces limites, culpabiliser pour chaque erreur ne nous fait pas avancer et ne contribue pas à l'acceptation  de soi.

    Au contraire, ces jugements sur soi  auraient plutôt tendance à faire baisser notre estime. les jugements négatifs, en particulier ceux qu'on s'adresse à soi même, sont rarement constructifs. Etre bienveillant pour soi, c'est accepter son manque de perfection, son coté faillible, son coté humain tout simplement. c'est aussi se dire qu'on a de la valeur  même quand on fait des erreurs.

     


     

    Les étiquettes négatives que l'on se colle ont un coté définitif qui ne nous aident absolument pas à changer. Comment progresser si l'on pense que l'on est mauvais ? Raisonner en terme de comportement permet de limiter l'auto dévalorisation et surtout permet de changer plus facilement.

    Il ne faut pas confondre ces comportements avec notre personnalité...La première chose à faire est d'accepter ces comportements , ces erreurs sans culpabiliser.

    L'erreur fait partie d'un processus  et le changement viendra progressivement. car accepter ne veut pas dire se résigner.

     

     

     

     

     


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    Souvent la vie s'amuse. Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé d'un rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud. Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident. 

    Les gens brutaux, les gens pressés ignorent les détails. ils veulent du lourd, du clinquant, ils ne veulent pas predre une minute 

     à se baisser pour un sou, une paille, la main d'un homme tremblant. 

    Mais si on se penche , si on arrête le temps, on découvre des diamants dans une main tendue....

     

     

    Et la vie n'est plus jamais triste.

    Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi.

    KATERINE  PANCOL.

     

     


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    le misere en ut mineur de Jan Disma Zelenka

     

    Jan Dismas Zelenka (16 octobre 1679 à Louňovice près de Blaníkem en Bohême, - 23 décembre 1745 à Dresde) est un compositeur bohémien de l'époque baroque.

    Avec le Père Cernohorsky, il est considéré comme le plus important compositeur de la période baroque tchèque.

     

     

    Te Deum - 1704.

    Après sa mort, survenue en 1745, il est enterré dans l'ancien cimetière catholique de Dresde.

    Jean-Sébastien Bach l'estimait et le connaissait personnellement. Bien que proche de celle de Bach par la forme, son inspiration est tout de même fondamentalement différente. Si le grand maître luthérien de Leipzig embrasse le monde de sa sérénité, son homologue catholique de Dresde navigue dans des eaux plus introspectives et passionnées, d'un grand génie dans l'expression émotionnelle.

     

     


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    Dans notre vie nous passons énormément de temps dans une sorte d'état de conscience assez floue. Car non seulement notre cerveau sélectionne dans notre environnement juste quelques informations pour un traitement "conscient", mais en plus notre attention est parfois ou diminuée , à cause du quotidien, des habitudes, de la lassitude...

     

     

     

     

    En effet, le cerveau sélectionne seulement ce que nous connaissons déjà cad les informations familières ....Il choisit en priorité les informations qui ont une chance  de nous intéresser, cad les informations qui provoquent en nous des réminiscences, des souvenirs qui nous rappellent quelque chose de particulier.

    Donc si nous n'essayons jamais de vraiment prêter attention à ce qui nous entoure, nous prenons le risque de vivre dans une sorte de vase clos, de plus en plus déconnectés des autres.

    Car si l'absence de ces informations que nous ne captons pas consciemment ne nous gêne en aucune façon, en revanche cette absence nous limite dans notre évolution et dans le développement de notre potentiel.

     

     

     


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    Dimanche  20 mars a été choisie comme la journée du bonheur par l'ONU.

    La résolution de l'assemblée générale de l’ONU est explicite, elle invite chaque état-membre à célébrer cette Journée comme il se doit, notamment dans le cadre d'initiatives éducatives et d'activités de sensibilisation.

    La journée mondiale du bonheur est bien dans l'air du temps et de la recherche d'un "mieux vivre". Les économistes cherchent aujourd'hui à élaborer de nouveaux outils de mesures pour mieux prendre en compte l’importance du bonheur pour le développement afin d’orienter les politiques nationales.

    On en arrive ainsi au véritable but de cette journée : la prise de conscience par les gouvernements que la seule croissance économique ne suffit plus à assurer le "bonheur" d'un pays et qu'un développement plus équitable, équilibré et durable permettrait de mieux éliminer la pauvreté et assurer le bien-être de tous les peuples.

     

     

     

    Qu’est-ce qui rend plus heureux ?

    Un objectif de la psychologie positive est de comprendre les relations entre bonheur, relation humaines et qualité « pro-sociales » comme la compassion, l’altruisme et la gratitude. Nous allons mieux si nous faisons du bien à autrui. Loving kindness se traduit par bonté en français. C’est ce qui nous rend le plus heureux. Il est possible de s’entrainer par exemple à apprendre à dire merci, cultiver l’optimisme, en relevant ce qui va bien plutôt que ce qui va mal, renforcer les liens sociaux comme cultiver la générosité, apprendre à pardonner, faire un compliment.

     

     


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