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Julian Alden Weir ( 1852 – 1919) qui est un peintre impressionniste américain qui fut membre de la Cos Cob Art Colony de Greenwich dans le Connecticut. Il fut aussi l'un des membres du Ten American Painters, une association d'artistes insatisfaits des prestations des organisations d'artistes professionnels, qui s'unirent, en 1898, afin d'exposer en commun leurs œuvres.
Le village de Wildham
Julian Alden Weir commença ses études artistiques à la National Academy of Design au début des années 1870, avant de rejoindre l'École des beaux-arts de Paris en 1873. En France il étudie sous la direction de Jean-Léon Gérôme et se lie d'amitié avec Jules Bastien-Lepage.
Paysage d'automne.
Lorsque Weir a quitté Paris en 1877, il réfléchit un commentaire d'un Français qu'il avait rencontré: "Il pensait que l'Amérique allait être un grand pays pour l'art, je l'espère certainement cela est vrai.". Dans cet esprit, il est retourné à New York et lui-même établi comme un portrait et la nature morte peintre, ainsi que professeur d'art à l'Art Students League. Il a aidé à fonder la Société des artistes américains, un groupe formé d'exposer leurs propres œuvres séparent des normes rigides et environnement exclusif de l'Académie..
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En ces jours de froid avec l'hiver qui s'est (enfin) annoncé,
un peu de douceur à la maison ne nous ferait pas de mal...
Emmitouflée dans mon châle, allongée sur mon canapé
je savoure un chocolat chaud, je me plonge dans un bon roman...
Un peu de douceur dans ce monde si brutal
tout d'un coup ne nous ferait pas de mal,
J'ai envie de m'enfermer à la maison,
de ne plus penser qu'à la douceur des choses,
Je veux fuir la morosité de ce ciel gris, de ce froid qui nous entoure
Et de partir au loin avec des rêves de douceur....
Par la fenêtre je vois les oiseaux du jardin
qui viennent picorer les graines sur la terrasse,
ils sont insouciants du froid, pauvres petites bestioles...
N'oubliez pas de les nourrir.
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Voici une de mes chansons préférées de Françoise HARDY :
Tant de belles choses.2004
Une autre de ses chansons que j'écoute souvent :
Partir quand même.1988
Et aussi : Comment te dire Adieu...1968Françoise Hardy.Françoise Hardy, née Françoise Madeleine Hardy le 17 janvier 1944 à Paris, est une chanteuse française.
Auteure-compositrice-interprète, elle débute dans le monde musical à 18 ans et rencontre un succès immédiat. Après s’être produite pendant six années sur scène, elle abandonne cet aspect du métier et, depuis, poursuit une carrière essentiellement discographique. Sur des mélodies mélancoliques qu’elle affectionne, le répertoire de Françoise Hardy est en grande partie le reflet des doutes, des interrogations et de l’anxiété que suscitent en elle les tourments des relations sentimentales et de la nostalgie en général.
Parallèlement à l’écriture de chansons, elle porte un intérêt à l’astrologie, qu’elle appréhende comme complément à la psychologie.
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Un roman de Françoise BOURDIN : le testament d'Ariane.
Ariane Nogaro, issue d'une grande famille d'exploitants résiniers des Landes, veuve et sans enfants, décide de mettre de l'ordre dans ses affaires et se rend chez son notaire afin de rédiger son testament.
Elle ne fréquente guère son frère aîné, un professeur à la retraite, pas plus que sa belle-sœur, le couple n'appréciant guère son originalité et sa manière de vivre.
Seule Anne, l'une de ses nièces, lui rend régulièrement visite, partageant avec sa tante une véritable affection et complicité. Mariée à un vétérinaire et maman d'un garçon d'une douzaine d'années, elle exerce son métier de comptable à domicile, mène une vie harmonieuse mais sans fantaisie.
Jusqu'au jour où Ariane décède subitement. Contre toute attente, Anne hérite de tous ses biens, dont une grande propriété nichée entre forêt et océan, le berceau des Nogaro.
Un événement qui va faire resurgir les démons du passé, les jalousies et les rancœurs, et bouleversera l'unité du clan jusqu'ici préservée.Que faire en effet de cette maison qui renferme tant de souvenirs? La revendre? Ou au contraire s'y installer, comme Anne le souhaiterait malgré le refus sans appel de son mari de déménager? A-t-elle le droit de mettre son couple en péril?
Et résistera-t-elle aux pressions continuelles de sa famille qui supporte difficilement d'avoir été écartée de l'héritage?Dans ce romans F.Bourdin parle beaucoup de cette belle région des Landes coté forêt et coté océan..
J'ai beaucoup aimé ce roman ( en 2 tomes) avec Ariane qui lâche sa bombe à son décès mais qui fait toujours partie du roman à sa manière. Je vous laisse le découvrir. Elle savait ce qu'elle faisait , la fin n'est pas triste !
En fait tout au long de ce roman, les langues se délient et Françoise Bourdin développe ses personnages qui deviennent attachants ou non.
Pour conclure, un roman qui nous pousse à nous poser des questions et surtout on se rend compte que l'argent peut délier des langues et provoquer des cataclysmes voire même réveiller des situations endormies.
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Stevenson Cassatt, dite Mary Cassatt, née le 22 mai 1844, à Allegheny City en Pennsylvanie et morte le 14 juin 1926 (à 82 ans) au Mesnil-Théribus en France, où elle est enterrée, est une artiste peintre et graveuse américaine.
Amie de Edgar Degas, elle est souvent rattachée à l'impressionnisme, qui a une grande influence sur son œuvre précoce. Ses peintures, ses gravures et ses dessins de maturité doivent cependant plutôt être comparés à ceux produits par la génération de peintres post-impressionnistes :
Mary Cassat - auto portrait - 1880
Lorsqu'en 1877, son dernier tableau est refusé par le Salon, Degas l'encourage à exposer au quatrième salon des impressionnistes. Elle y expose en 1879 son tableau Lydia dans une loge portant un collier de perles' et La tasse de thé . Mary Cassatt se sent à l'aise dans le milieu impressionniste . Mary Cassatt est une figure un peu atypique dans le groupe des impressionnistes, portraitiste plus que paysagiste , elle les rejoint cependant dans son goût pour le travail à l'extérieur , son sens des couleurs et sa recherche du réalisme.
Mary Cassatt - le Thé - 1880
Lydia assise dans le jardin - 1880.
En 1892, elle reçoit commande d'une fresque, aujourd'hui perdue, pour le bâtiment des femmes de l'exposition universelle de Chicago . Elle achète, en 1894 le château de Beaufresne au Mesnil-Théribus qui devient sa résidence d'été. De 1912 à 1924, elle partagera son temps entre Beaufresne et la villa Angellito à Grasse.
La maternité - 1887.
La promenade en barque - 1893.
L'été - 1894.
Son père meurt en 1891, sa mère en 1895 et son frère Gardner en 1911. Ces décès l'affectent profondément et Mary souffre d'une dépression. Le diabète et la cataracte lui abîment la vue, elle cesse de peindre en 1914. Elle devient définitivement aveugle en 1921. Elle meurt le 14 juin 1926 et est enterrée dans la tombe familiale de Mesnil-Théribus.
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