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    Lorsque l’on parle d’organisation et d’efficacité, il y a un élément à étudier à la loupe : il s’agit du perfectionnisme.

     Le perfectionnisme rend il  plus efficace ? Pas du tout… le perfectionnisme peut être un frein, un boulet, une plaie, une paire de menottes, une entrave, un bridage, bref en un mot le perfectionnisme peut être « toxique ».

     Le perfectionnisme est une qualité.  Mais de la même manière que l’amour et la haine peuvent être des sentiments tout proches, la frontière entre le « bon » et le « mauvais » perfectionnisme est souvent ténue.

     

     

     

    Prenez conscience des blocages provoqués par le souci de la perfection, et prenez du plaisir à être imparfait !

    Oui, vous avez bien lu : du plaisir.

     Obligez-vous à être imparfait dans les tâches courantes et sans importance. Vous verrez, c’est le premier pas qui compte et avec un peu d’habitude on s’y fait très bien ! Et on gagne un temps fou.

    Laissez tout votre perfectionnisme s’exercer dans certaines actions triées sur le volet, qui vont vous apporter une satisfaction intense !

    Si vous voulez en savoir plus, allez   ICI

     

     

     


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    "J'appartiens à un pays que j'ai quitté...Tu ne peux empêcher qu'à cette heure s'y épanouisse au soleil toute une chevelure embaumée de forêts. Rien ne peut empêcher qu'à cette heure l'herbe profonde y noie le pied des arbres, d'un vert délicieux et apaisant dont mon âme a soif... Viens, toi qui l'ignores, viens que je te dise tout bas : le parfum des bois de mon pays égale la fraise et la rose !

    Tu jurerais, quand les taillis de ronces y sont en fleurs qu'un fruit mûrit on ne sait où - là-bas, ici, tout près - un fruit insaisissable qu'on aspire en ouvrant les narines. Tu jurerais, quand l'automne pénètre et meurtrit les feuillages tombés, qu'une pomme trop mûre vient de choir, et tu la cherches et tu la flaires, ici, là-bas, tout près...

     

     

    Et si tu passais, en juin, entre les prairies fauchées, à l'heure où la lune ruisselle sur les meules rondes qui sont les dunes de mon pays, tu sentirais, à leur parfum, s'ouvrir ton coeur. Tu fermerais les yeux, avec cette fierté grave dont tu voiles ta volupté, et tu laisserais tomber ta tête, avec un muet soupir...

     

     

    Et si tu arrivais, un jour d'été, dans mon pays, au fond d'un jardin que je connais, un jardin noir de verdure et sans fleurs, si tu regardais bleuir, au lointain, une montagne ronde où les cailloux, les papillons et les chardons se teignent du même azur mauve et poussiéreux, tu m'oublierais, et tu t'assoirais là, pour n'en plus bouger jusqu'au terme de ta vie (...)

    Texte de Colette.

    Peintures de Sergueiv Totounov.

     

     

     


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    "Moi, je m'imagine qu'une belle fleur ne végète pas stupidement, sans éprouver des sensations délicieuses. Passe pour ces pauvres petits chardons que nous voyons le long des fossés, et qui se traînent là poudreux, malades, broutés par tous les troupeaux qui passent ! Ils ont l'air de pauvres mendiants soupirant après une goutte d'eau qui ne leur arrive pas ; la terre gercée et altérée la boit avidement sans en faire part à leurs racines.

     

     

     

     

    Mais ces fleurs de jardin dont on prend si grand soin, elles sont heureuses et fières comme des reines. Elles passent leur temps à se balancer coquettement sur leurs tiges, et quand vient la lune, leur bonne amie, elles sont là toutes béantes, plongées dans un demi-sommeil, et visitées par de doux rêves. Elles se demandent peut-être s'il y a des fleurs dans la lune, comme nous autres nous nous demandons s'il s'y trouve des êtres humains.

     

     

     

    Allons, Joseph, tu te moques de moi, et pourtant le bien-être que j'éprouve en regardant ces étoiles blanches n'est point une illusion. Il y a dans l'air épuré et rafraîchi par elles quelque chose de souverain, et je sens une espèce de rapport entre ma vie et celle de tout ce qui vit autour de moi."    Consuelo (1842).

    Georges SAND.

     

     

     


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    Le meilleur miroir est l'œil d'un ami.

    Seul le jugement d’un ami est vraiment juste. En effet, un bon ami nous connaît assez pour ne pas se tromper à notre égard. Il nous critique sans ménagement et nous encense sans arrières pensés

    .Si ton ami est de miel, ne le mange pas tout entier.

    Ce proverbe signifie qu'il ne faut pas trop abuser d'un bon ami.

     

     


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    Il est normal que les choses négatives altèrent notre vie. Mais il est important de savoir que les extrêmes ne sont jamais bons. 

    Il est préférable d'être bienveillant avec vous mêmes, 

    Prêtez attention aux bonnes choses. Vous avez des millions de raisons de sourire . Tout ce qui arrive dans votre vie (bon ou mauvais) doit vous servir d'enseignement pour être plus fort et arriver plus vite à réaliser vos objectifs.

    Tirez la leçon de chaque situation, avec les enseignements que vous tirez de vos problèmes, vous réussirez à vous ajuster à chaque situation , vous améliorerez l'estime de vous même et vous vous sentirez moins mal.

     


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